Dans sa combinaison d’approches artistiques et anthropologiques, le livre résonne avec l’expérience de la destruction observée par De Beyter et offre une lecture fragmentaire de cette culture de la création et de la destruction. S’engageant dans le pur plaisir nihiliste du spectacle, c’est un essai visuel qui examine la matière comme sujet autant qu’il explore les possibilités formelles de la matérialité propre des images.